Comment gagner sa vie sur la route ?

Il existe de nombreuses options.

Pensez d’abord à vos passions : peut-être est-ce l’occasion de pouvoir en vivre, du moins partiellement. N’oubliez pas que vous n’aurez plus de loyer et de grosses factures à payer, ni d’armoires à remplir de gadgets, donc vos besoins d’argent seront moindres.

Musicien, photographe, écrivain ? Vous pourriez très bien couvrir la moitié de vos dépenses avec ces talents. Bien entendu, il reste toujours plus sage de prévoir quelques économies.

De mon côté, je prépare une thèse et travaille à distance dans l’enseignement et l’écriture.

Le plus souvent toutefois, les vanlifeurs travaillent dans un domaine associé au commerce.

Beaucoup s’essayent avec plus ou moins de succès aux réseaux sociaux, via lesquels ils parviennent à tirer quelque revenu du coaching, de la publicité, des commissions et des e-books.

D’autres confectionnent des objets artisanaux qu’ils vendent en chemin ou sur des sites web comme Etsy ou Ebay.

Il y a évidemment aussi les développeurs, les web designers et toutes les activités centrées sur l’Internet.

On y pense moins, mais la comptabilité peut également s’accommoder de longues périodes de travail à distance.

En dehors du Web, il existe pour les voyageurs certains gagne-pains traditionnels :

  • horeca
  • guide touristique
  • animation
  • cours privés
  • travaux manuels temporaires : jardinage, cueillette…
  • au pair

Proche de cette dernière option se développent les activités de volontariat ou de gardiennage de maison, en échange desquelles vous pouvez être nourris et logés pour des laps de temps parfois assez longs.

Vous en trouverez des centaines sur le site Workaway. La plupart des offres concernent une aide manuelle dans des fermes écologiques ou dans des auberges de jeunesse, mais il est également possible de s’occuper d’animaux dans des refuges.